dimanche 28 octobre 2018

28 octobre 2018 : Le fantôme de Cartierville à la maison de la culture Mercier

Parfois, j'ai le plaisir de faire des recherches avec des participants qui deviennent des amis au fil du temps. On partage des activités : musique, sorties... Et puis un jour, un des comédiens doit s'absenter pour le spectacle qui aura lieu dans deux jours. La metteure en scène appelle : "Jean, j'ai un service à te demander. Toi qui a assisté à la plupart des répétitions, pourrais-tu faire le rôle du jardinier ?" C'est vrai que j'ai observé souvent pendant les soirées de répétition, mais... de là à savoir le rôle... oui, mais... comment se dérober ? Alors, je réponds : "D'accord, avec plaisir !" et je me mets au boulot. Et finalement, je suis super heureux d'avoir partagé avec la gang ce beau moment où chacune, chacun, a mis tout son coeur pour offrir un beau spectacle.

vendredi 26 octobre 2018

22-26 octobre 2018 : 4ème biennale du Laboratoire international sur l'inclusion scolaire (LISIS) à l'UQTR

Une belle semaine de conférences, d'ateliers et d'échanges. Mes recherches rejoignent essentiellement les thèmes des équipes 3 et 10.  

Equipes de recherche du LISIS

Le Laboratoire est organisé en équipes qui regroupent plusieurs membres autour d’un objet spécifique pouvant donner lieu à une ou plusieurs recherches. Placées sous la responsabilité d’un ou de deux chercheurs réguliers, ces équipes sont actuellement les suivantes :
  1. Direction et leadership inclusif
  2. Dispositifs de développement professionnel et inclusion scolaire
  3. Diversité et pratiques d’enseignement
  4. Diversité socioculturelle dans une perspective inclusive
  5. Inégalités sociales et scolaires
  6. Modèles de service pour soutenir l’inclusion scolaire
  7. Perspectives inclusives sur les comportements difficiles en milieu éducatif
  8. Processus de Recherche Action Participative (RAP) pour l’éducation inclusive
  9. Rôles et pratiques collaboratives en soutien à l’inclusion scolaire dans les milieux de pratique et de formation
  10. Voix des jeunes et de leur famille, de l’entrée à l’école à l’insertion sociale et professionnelle
En savoir plus sur le LISIS : CLIC !

vendredi 12 octobre 2018

12 octobre 2018 : Rencontre conjointe du REPAQ "la recherche et les écoles alternatives"

Extraits de l'invitation à la "La rencontre conjointe" : qui "se tient exceptionnellement dans une université parce qu’elle a été pensée et organisée par notre réseau des chercheurs universitaires, le Réseau des chercheurs RÉPAQ, fondé le 19 janvier dernier.
Après la présentation traditionnelle de tous les participants présents, huit chercheurs et chercheuses viendront vous présenter leurs recherches passées, présentes ou futures en lien avec les écoles alternatives. Chaque chercheur-e aura un temps égal aux autres pour présenter un exemple de ses recherches, son objet, la manière dont il s'y prend, la "philosophie" qui l'amène à faire ce type de recherche. Nous entendrons :
Jean Horvais, professeur à l’UQAM
Mélanie Paré, professeure à l’Université de Montréal
Philippe Chaubet, professeur à l’UQAM
Luc Prud’homme, professeur à l’UQTR
Olivier Bégin-Caouette, professeur à l’Université de Montréal
Julie Bouchard, étudiante à l’Université de Montréal
Benoît Tellier, étudiant à l’UQTR
Katryn Ouellet, étudiante à l’UQTR

une table ronde intitulée : Pour un partenariat gagnant-gagnant École alternative-Université.
La présentation des recherches au cours de la matinée aura suscité chez les participants des questionnements, des sensibilités, la naissance d’autres projets, le désir d’actions communes RÉPAQ- chercheurs, un désir de mobilisation... Les panélistes et l’auditoire mettront ensemble la table pour une année 2018-2019 axée sur des recherches qui alimenteront la réflexion sur nos pratiques d’une part et répondront aux intérêts des chercheurs d’autre part. La naissance d’un partenariat gagnant-gagnant, pourquoi pas?
Nous avons demandé à sept membres du RÉPAQ d’agir comme panélistes.
À 14h45, Jean Horvais présentera une synthèse de la rencontre". 
Voici ci-dessous l'enregistrement audio de cette synthèse-conclusion... 
Pierre, responsable de la communication du REPAQ écrit le lendemain aux chercheurs : 
"Hier la rencontre conjointe a réuni 135 personnes! C'est un succès d'auditoire et, aux dires de nombreuses personnes, un succès de contenu. Et ceux et celles d'entre vous qui y participiez, en êtes en grande partie responsables. Je vous félicite toutes et tous pour votre passion, votre intelligence et votre ouverture d'esprit.
Le temps est venu pour le Réseau des chercheurs RÉPAQ de faire le point sur cette journée et de répondre, dans la mesure de ses moyens, aux désirs de collaboration qu'ont manifestés les écoles alternatives hier.
Le RÉPAQ attend donc vos propositions concrètes et s'offre à vous donner le coup de main nécessaire à leur réalisation.
Heureux de travailler avec vous."

lundi 16 juillet 2018

Corpuscule 3D Diversité (Notre dernière présentation, bilan)



Pourquoi, comment… ?  
Une initiation à la danse

Parce que j’avais vu l’annonce du projet sur Facebook et que l’ayant proposé à ma meilleure moitié, celle qui danse, elle déclina l’offre car elle travaillait aux horaires des répétitions. Parce qu’alors, je me suis dit : pourquoi pas moi ? Ça fait 57 ans que je n’ai pas dansé, il n’est peut-être pas trop tard… Belle occasion de me lancer dans des apprentissages totalement inédits pour moi. 
Fait que, j’ai écrit à France Geoffroy pour lui proposer ma candidature (candide-ature ?) qui fut très aimablement acceptée. (Mille mercis à cette formidable "Danseuse sur roulettes" !)
Premières séances : j’étais très gêné. J’avais l’impression de vivre ces moments dans un corps qui n’est pas le mien, raide, pataud, maladroit, avec des morceaux qui servent à rien mais qu’on ne peut pas laisser au vestiaire alors que je ne sais pas quoi en faire. Impression d’être un bonhomme Playmobil fait de pièces disjointes qu’il faut penser à animer l’une après l’autre. Impression d’être l’élève qui ne comprend rien, qui ne connaît pas les codes de la classe, les attentes du prof, qui fait tout son possible mais qui est toujours un peu hors du coup. Heureusement, tout le monde est sympa. La fausse sensation d’être regardé, jugé s’efface assez vite. Il reste à se mettre courageusement au travail en feignant de croire que je vais y arriver. Quelques encouragements de l’un ou l’autre des chorégraphes, quelques conseils subtilement distillés par celles qui ont plus d’expérience produisent leurs effets sur mes propres barrières. J’ose plus parce que je tente moins de me regarder et d’évaluer si j’ai des chances de parvenir à réussir et à me trouver bon. Ce voeu inconscient de s’estimer favorablement pour en faire dépendre ensuite l’investissement dans l’apprentissage est mortifère. Je ne suis sans doute pas le seul ici-bas à l’éprouver… L’obsession parfois absurde et artificielle de vouloir convaincre les élèves d’acquérir une « estime de soi » inoxydable comme Graal pour la réussite éducative est contre productive quand l’élève a la lucidité de ne pas être dupe du discours d’encouragements sous lequel on tente d’anesthésier ses résistances. Bien sûr, éviter de faire subir l’humiliation, bien sûr, encourager, mais surtout, ne pas bercer d’illusions dont le sujet percevra assez tôt le mensonge comme on évente les tours d'un mauvais prestidigitateur. Ça faisait bien longtemps que je n’avais pas éprouvé en moi-même ces sensations pour lesquelles j’ai des convictions de formateur. Dans le projet de ce groupe, j’ai trouvé les ingrédients nécessaires pour m'accompagner comme néophyte dans l'apprentissage : peu d’explications, mais des consignes pour mettre en action, quelques conseils et modelages à imiter afin de guider dans la bonne direction une progression dans la complexité.
Il y a aussi les apprentissages au sein du groupe et en tant que groupe.

mardi 12 juin 2018

École d'été de l'UQAM. Droits, citoyenneté et handicap: stratégies d'émancipation. 11-15 juin 2018



Sur le site du cours que j'ai créé, toutes les informations, les notes et liens 
sur les interventions de la semaine. 

et sur https://www.actualites.uqam.ca/

Vers une société plus inclusive

L'École d’été Droits, citoyenneté et handicap s'interroge sur les conditions de vie des personnes handicapées.
26 JUIN 2018 À 16H41
La rectrice Magda Fusaro entourée des membres du comité organisateur de l'École d'été.
La deuxième édition de l’École d’été Droits, citoyenneté et handicap: stratégies d’émancipation a eu lieu à l’UQAM, du 11 au 15 juin derniers. Initiative conjointe de la Faculté des sciences humaines, de la Faculté de communication, de la Faculté des sciences de l’éducation, du Centre de recherche Cultures – Arts – Société (CELAT) et du Service de soutien aux personnes en situation de handicap, l’événement a attiré près de 150 personnes – étudiants, intervenants des milieux de l’action communautaire et des services publics – ainsi qu’une vingtaine de conférenciers.
L’école d’été s’interrogeait sur les conditions de vie des personnes, sur les facteurs sociaux de leur exclusion ou inclusion sociale et sur les stratégies individuelles, collectives ou institutionnelles susceptibles de soutenir leur émancipation. Les ateliers portaient notamment sur la ville inclusive, l’accessibilité des technologies et des médias, les droits civils, sexuels, culturels, politiques, au travail et à l’éducation ainsi que sur les représentations du handicap. «Cet événement s’est démarqué par la qualité des échanges et des interventions en vue de créer une université et une société plus inclusives», souligne Mouloud Boukala, professeur à l’École des médias et coorganisateur de l’École d’été avec Mireille Tremblay et Véronique Leduc, professeures au Département de communication sociale et publique, et Jean Horvais, professeur au Département d’éducation et formation spécialisées.
«L’École d’été démontre l’engagement de l’UQAM envers les plus vulnérables et permet de donner de l’espoir à des personnes dont les droits sont constamment bafoués», mentionne Mouloud Boukala. Pour clôturer la semaine, la rectrice Magda Fusaro a prononcé un discours sur l’importance de l’inclusion à l’UQAM.

mardi 5 juin 2018

Projet d'école dans le faubourg St-Laurent : projet de recherche en appui à la communauté


Paru dans 

Une école pour le quartier


Des chercheurs collaborent à un projet d'école primaire inclusive dans le Faubourg Saint-Laurent.
4 JUIN 2018 À 15H36

Ce qui est ressorti des rencontres avec les parents, c'est le désir d'une école inclusive, qui ferait place à la diversité des cultures et des besoins des enfants.Photo: Nathalie St-Pierre
Au cours des cinq dernières années, la croissance de la population dans le faubourg Saint-Laurent, quartier où se trouve l'UQAM, a été de 12%! Mais dans ce quartier où les immeubles à condos poussent comme des champignons, attirant les jeunes professionnels, il n'y a pas d'école. Les familles n'ont pas d'autre choix, quand leurs enfants arrivent à l'âge scolaire, que de les envoyer à l'école dans d'autres secteurs de la ville. Cela ne favorise pas la vie de quartier. Pour attirer et retenir les familles, la Table de concertation du faubourg Saint-Laurent (TCFSL) a donc mis de l'avant le projet d'implanter une école. Et, pour mettre toutes les chances du côté de ce projet stimulant, elle a demandé l'aide de l'UQAM.
C'est ainsi que le professeur du Département d'éducation et formation spécialisées Jean Horvais, aidé de ses collègues Marie-Pierre Fortier et Jean Bélanger, s'est joint à l'aventure dans le cadre d'un projet PAFARC soutenu par le Service aux collectivités. «Je considère qu'en tant qu'institution phare dans le quartier, l'UQAM avait le devoir de répondre à cette demande», dit Jean Horvais, qui est d'autant plus heureux de s'engager dans cette initiative qu'il habite le quartier («même si je n'ai pas d'enfants en âge scolaire, je suis sensible à la réalité des parents de mon voisinage», dit-il) et que la question de l'éducation inclusive est au cœur de son travail de chercheur.
« Je considère qu'en tant qu'institution phare dans le quartier, l'UQAM avait le devoir de répondre à cette demande.»
JEAN HORVAIS,
Professeur au Département d'éducation et formation spécialisées

jeudi 10 mai 2018

Colloque "La parole libre des acteurs de l'inclusion" à l'ACFAS 9-10 mai 2018 à l'université du Québec à Chicoutimi


Et le propos que j'ai tenu est à écouter dans le IOUTOUBE ci-dessous :



La page du colloque sur le site de l'ACFAS  : CLIC !

lundi 30 avril 2018

Les Muses, centre des arts de la scène. En révision de programme

Cette année, Les Muses se sont engagées dans une profonde révision de leur programme afin de le préciser et de le rendre plus adéquat aux attentes des élèves et de leur donner de meilleures chances encore de trouver leur place dans le milieu artistique professionnel. Je participe avec beaucoup de plaisir à ce projet en plusieurs étapes avec les profs, les accompagnateurs et l'équipe d'encadrement dans le but de documenter la démarche et d'apporter quelques éclairages pédagogiques utiles. L'ouverture, le dynamisme, l'inventivité... sont vraiment au coeur de l'action !

jeudi 19 avril 2018

18 avril 2018 : AGA des Muses Centre de formation aux arts de la scène

J'ai le plaisir de participer modestement à la belle aventure des Muses comme administrateur depuis quelques années.
"Les Muses : Centre des arts de la scène est une école unique en son genre qui offre une formation professionnelle en théâtre, danse et chant à des artistes vivant une situation de handicap (déficience intellectuelle, trouble du spectre de l’autisme, limitations physiques ou sensorielles). Son programme de formation propose un encadrement socioprofessionnel favorisant l’intégration des élèves avancés et des finissants dans le milieu artistique professionnel."
L'AGA a été l'occasion de revenir sur les événements et réalisations de l'année 2017, riche en projets artistiques de toutes sortes pour les élèves. Actuellement, j'accompagne (conseil, documentation...) l'équipe de profs dans la révision de programme. Équipe enthousiaste, inventive, engagée... quel plaisir ! Tout savoir sur les Muses : CLIC !

mercredi 21 mars 2018

21 mars 2018 - L'accord personnalisé d'apprentissage - école alternative Le Vitrail


Le 21 mars, nous avons été invités, Mélanie Paré (UdM) et moi à participer pour commenter en synthèse une soirée organisée par l'école alternative Le Vitrail sur le thème de l'"accord personnalisé d'apprentissage" (APA) qui est un des 7 piliers de la pédagogie d'"autoformation assistée" que cette école met en oeuvre. La cinquantaine de parents et enseignants rassemblés ce soir-là ont réfléchi pendant 1 h 30 sur ce thème et nous ont ensuite cédé la parole pour entendre nos réactions à leurs riches échanges. Pour ma part, j'ai voulu souligner les points suivants : 
"La réponse étant le malheur de la question d'après Maurice Blanchot, je vous propose quelques thèmes de recherches inspirés de vos propos. Je me suis d'abord posé la question du sens des termes employés. 

samedi 17 mars 2018

16 mars 2018, Réseau des Ecoles Alternatives du Québec, rencontre conjointe à l'école des Petits-Explorateurs : la vie démocratique scolaire est-elle inclusive


Les participants sont invités à partager entre eux au sujet des pratiques favorisant la participation à la vie démocratique dans l’école alternative dans une perspective inclusive (tenant compte de la diversité des élèves). Il leur est demandé de commenter ces pratiques afin d’aider à les rendre mieux adaptés (si possible) à la diversité des élèves qui fréquentent ou pourraient fréquenter leurs milieux. Une série de questions pour soutenir l’analyse est proposée par Jean Horvais et Mélanie Paré. (voir en fin de message)

vendredi 26 janvier 2018

Réseau des Ecoles Alternatives du Québec, rencontre conjointe à l'école Le Vitrail : pratiques inclusives en évaluation


Extraits de l'invitation et des documents de préparation (et c'est ça qu'on a fait ! 😊) :

Au programme de cette rencontre : Rythme et style d’apprentissage : la différenciation dans l’évaluation des apprentissages. Comment, dans les milieux alternatifs, parvient-on à tenir compte des rythmes d'apprentissage dans une évaluation rigoureuse soutenue par des traces tangibles? Distingue-t-on le rythme de production de l'élève de son rythme d'acquisition? Le fait de permettre à chacun d'aller à son rythme résout-il tous les problèmes des élèves qui ont des difficultés d'apprentissage ou d'adaptation? Dans quelle mesure cela s’inscrit-il dans une perspective inclusive ? Ce sont quelques-unes des questions qui ont servi de trame de fond à la préparation de la journée.

mardi 23 janvier 2018

Transcription d'entretiens : ma technique perso

La transcription d'entretiens est un pensum chronophage pourtant indispensable en recherche qualitative. L'activité de transcription est la première étape de réécoute de l'entretien et la première occasion d'y entendre ce qui avait échappé dans le feu de l'interaction. Souvent même, les premières idées de regroupements thématiques et de catégorisations apparaissent, fort utiles dans une démarche progressive d'analyse par théorisation ancrée. Mais comment économiser du temps dans cette activité assez fastidieuse pour laquelle il est habituel de compter 7 heures de travail pour 1 heure d'enregistrement, sous réserve que celui-ci soit de bonne qualité. Pour ma part, j'utilise actuellement le dispositif suivant et je suis preneur de toute idée pour l'améliorer. Il me permet de réduire à 2-3 heures pour 1 heure d'enregistrement, le temps de la transcription.

  • Matériel utilisé : un ordinateur, un Ipad, des écouteurs.

Il faut travailler dans une atmosphère très silencieuse pour avoir les meilleurs résultats.

  • Je crée un même fichier Google Sheets sur l'ordinateur et l'Ipad. (Google Sheets est un tableur en ligne type Excel, ça permet d'inscrire une unité de sens par case et d'y adjoindre des indications complémentaires dans les colonnes adjacentes). 
  • J'ouvre le fichier son sur l'ordinateur en étirant au maximum la barre de commande afin de contrôler au mieux le positionnement du curseur si besoin. 
  • J'écoute avec les écouteurs et je "dicte" chaque phrase à l'Ipad en activant la fonction par la touche micro du clavier et en la lui répétant à haute et intelligible voix mais néanmoins avec une prononciation standard. 
  • La phrase s'inscrit dans le tableau et s'il y a un peu de correction à faire, je la fais dans le tableau affiché sur l'ordinateur car le clavier de ce dernier est plus pratique pour cela. 
Avec un petit peu d'entrainement, la fiabilité et la rapidité de la transcription sont appréciables. 



Labor improbus omnia vincit 

samedi 13 janvier 2018

Développer l'accès à la littératie numérique des adolescents ayant une déficience intellectuelle


Parution : Transition digitale et médiations numériques dans les institutions sociales et médico-sociales (Coord. Meyer, Pitaud)

Mon article "Développer l'accès à la littératie numérique des adolescents ayant une déficience intellectuelle" est paru dans la revue thématique du CREAI PACA & Corse. numéro de décembre 2017. Deux exemplaires viennent d'arriver dans ma boîte aux lettres. Merci à Vincent Meyer et Philippe Pitaud qui ont coordonné la publication.